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NOTRE TERROIR


Aujourd’hui, le Domaine Patrick Baudouin compte treize hectares de vignes en production, uniquement en chenin – mais nous avons encore en stocks les millésimes 2019 à 2022 de nos vignes de cabernet franc et sauvignon, arrachées en 2022 !
Nos vignes sont réparties dans un rayon de 6 km à vol d’oiseau autour du Domaine, sur les communes de Chaudefonds sur Layon, Saint Aubin de Luigné, Rochefort sur Loire (Quarts de Chaume) et Savennières.
Socles schisteux, sols volcaniques, grès, quartz, sols carbonifères, cendres volcaniques sédimentées, sols minces, limoneux plus qu’argileux. Nous sommes à l’extrémité Est du Massif Armoricain. La faille qui a formé le système des Coteaux du Layon vient de Bretagne et ne s’arrête pas au Layon. Elle joue d’ailleurs encore parfois, doucement. Au Nord de la faille, les coteaux se sont formés, ils s’élèvent à 80 mètres maximum. La vallée du Layon forme un L, ou un V, selon les endroits, pierreux, orienté sud-est/nord-ouest. Les vignes de Savennières, surplombant la rive droite de la Loire, à 10 km au nord de la vallée du Layon, partagent fondamentalement le même socle, et le chenin y est aussi roi.




Un milieu vivant et préservé
Certifié en agriculture biologique depuis 2004, le Domaine a toujours effectué ses choix techniques pour préserver le cadre magnifique de ses coteaux : conservation des arbres et des haies, travail en traction animale à chaque fois que cela est possible, écopaturage de moutons dans les vignes l’hiver, etc…
Au chai également, les solutions retenues favorisent la préservation des ressources et l’environnement : récupération des eaux de pluies, rafraîchissement des locaux sans climatisation grâce à des puits canadiens, désinfections des barriques sans intrant chimique grâce à la vapeur d’eau, etc…
Les toits de nos bâtiments, non calfeutrés, accueillent des colonies de chauve-souris et d’hirondelles qui viennent participer à l’équilibre de notre écosystème.


» Capables de consommer 25 % de leur masse corporelle par nuit, les chauves souris participent à la régulation des populations d’insectes, parmi lesquels des vecteurs de maladies humaines et vétérinaires (Anopheles, Musca) et des ravageurs de cultures…
Aux Etats-Unis, la contribution des chauves-souris à la régulation des insectes ravageurs a été jugée équivalente à une économie moyenne de 22,9 milliards de dollars de dépenses en pesticides agricoles. «

Sous l'influence du Layon...
Réparties de buttes en buttes sur les coteaux qui bordent le Layon – et la Loire à Savennières – nos parcelles sont directement impactées par les micro-climats que dessinent ses méandres, et la magie du botrytis peut naître de celle du paysage…





